C’est à l’occasion du dîner concocté par le Chef Yannick Alléno, donné par le domaine à Hong Kong dans le cadre de Vinexpo 2018, que le son Angélus a été officiellement révélé par Yaron Herman en concert privé.
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Le seul nom d’Angélus évoque le son des cloches, symboles du domaine, présentes sur ses étiquettes, son logo, son campanile. Le son, une singularité qu’Angélus a souhaité illustrer en confiant la création de son identité sonore au grand pianiste de jazz Yaron Herman.

 Cette nouvelle collaboration avec un artiste de renom s’inscrit à la fois dans la continuité de l’histoire d’Angélus, depuis longtemps proche de l’art et des créateurs, tout en ouvrant un nouveau chapitre de la politique de mécénat artistique ambitieuse initiée par Stéphanie de Boüard-Rivoal ; une démarche fondée sur le désir d’accompagner les artistes dans leur processus créatif, d’être pour eux à la fois soutien et source d’inspiration, dans le plus grand respect de leur liberté et de leur style.

Le choix de Yaron Herman doit tout à une première rencontre. En juillet 2017, le jeune pianiste prodige était invité à se produire dans le cadre du Jazz Festival de Saint-Emilion. Son improvisation autour de quatre vins d’Angélus a bouleversé le public et est restée comme un des moments forts de cette manifestation.
C’est en l’écoutant ce jour-là que Stéphanie de Boüard-Rivoal a eu l’idée de lui proposer cette collaboration inédite.

A ce propos, la directrice générale d’Angélus a déclaré :

« Pour Angélus, se doter d’une identité sonore n’allait pas de soi et c’est vraiment le désir de travailler avec ce jeune pianiste déjà très reconnu qui a tout déclenché. Dès sa première venue au Château, Yaron Herman a parfaitement saisi la singularité et la personnalité du domaine et des vins que nous produisons. Et il a réussi à nous en proposer une interprétation musicale qui nous a d’emblée séduits et s’est imposée comme une évidence ».

À PROPOS DE YARON HERMAN

Pianiste précoce, au parcours singulier et à l’ascension rapide, Yaron Herman séduit par l’intensité de son jeu et une volonté très affirmée d’ouvrir son répertoire à un vaste ensemble de références. S’inscrivant dans une aire du piano jazz contemporain, Yaron Herman ne craint pas d’affirmer une sensibilité pop – notamment par de vrais partis pris en matière de reprises – qui va de pair avec une expression extravertie et la revendication d’influences qui contribuent à la popularité et à la reconnaissance de ses talents de musicien. Désireux de repousser les frontières musicales, il collabore avec le quatuor Ebène, le concertiste Bertrand Chamayou et plus récemment avec Matthieu Chédid pour des concerts exceptionnels. Yaron Herman a signé en octobre 2014 avec le prestigieux Label Blue Note pour trois albums. Pour son album Y, sortit en mars 2017, réalisé en trio avec Ziv Ravitz et Bastien Burger, bassiste du groupe The Dø, et avec Hugh Coltman, Dream Koala et Matthieu Chedid en invités, Yaron Herman a choisi de composer ses propres « chansons » dégageant une énergie furieuse et laissant s’exprimer une sensibilité d’une infinie délicatesse.

Pour l’année 2018, Yaron Herman participe à deux projets. Premièrement il forme un trio avec le talentueux batteur Ziv Ravitz et le bassiste Sam Minaie (en tournée mondiale avec Melody Gardot). Enfin, il a créé un album avec la GECA de Genève, suite auquel ils se sont représentés dans des salles prestigieuses comme le centquatre à Paris ou la Elbphilharmonie d’Hambourg. Le 25 Juin, Yaron Herman aura sa carte blanche au Trianon à Paris dans le cadre du festival des cultures juives. On retrouvera à ses côtés Haggai Cohen-Milo, Ziv Ravitz, Michel Portal, Thomas de Pourquery, Federico Casagrande et le quatuor à cordes Zaide.

Découvrez le son Angélus ci-dessous :